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Channel: Commentaires sur : Que penser de Fairvesta Mercatus? Mon avis
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Par : Benjamin CLAVEL

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Bonjour,
le contrat n’a pas changé, donc mon avis n’a pas changé.

Avez vous les articles du WiWo concernant Fairvesta ?? (j’ai donné les liens dans des commentaires précédents).


Par : JF BOUSSE

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QUE PENSEZ VOUS DES PLACEMENTS EN EHPAD?

Par : Benjamin CLAVEL

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Je préfère ne pas en proposer à mes clients pour plusieurs raisons:
-trop de risques (voir article suivant http://www.touslesplacements.com/blog/immobilier-2/risque-lmnp/ )
-une activité en laquelle je ne crois guère: certes il y a de plus en plus de personnes âgées, mais combien ont les moyens de se payer une place en EHPAD ?? Et il ne faut pas rêver le pouvoir d’achat des retraités va baisser, le système par répartition est au bout du rouleau)
-des normes qui évoluent trop souvent et qui pourraient contraindre les exploitants à ne pas renouveler les baux des résidences anciennes au profit de constructions neuves (et donc au normes, sans travaux)
-une rentabilité très faible dans un contexte dans lequel espérer une plus-value me semble bien illusoire

Par : Dubois

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Il semblerait que le fantaisiste jeandupeux continue car le nouveau contrat robustus presente des frais caches…j’ai eu en main l’ancien contrat, et le nouveau..
Ou sont donc passes les 6% de frais ?
Un commercial m.a dit que la direction France avait fait passer un message pour dire qu’ils seraient pris dans le fonds ..!!! Et qu.il me le prouverait en me montrant ce message.. Malgre ces frais le vendeur toucherait 4,2% de commission !!! Comment font ils

Par : Benjamin CLAVEL

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Bonjour,
auriez-vous la possibilité de me faire parvenir les documents en question pour analyse ?

Par : Tsuki

Par : Benjamin CLAVEL

Par : Pierre

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Voila ce jour une intéressante communication de M. Rondeau, président de la Compagnie des Conseils en Gestion de Patrimoine Indépendants. On y voit que les points qui soulèvent des interrogations sont précisément ceux listés par Benjamin Clavel dès l'origine, et débattus ici même. Notamment la valorisation des immeubles et les frais extrêmement lourds. <em>"Le groupe Fairvesta Allemagne aurait annoncé à son réseau français en octobre dernier  que plus aucunes solutions commerciales ne seraient proposées en France…. jusqu’à nouvel ordre. La gestion administrative des contrats clients en cours serait désormais assurée par le siège en Allemagne. (Avec en filigrane la fermeture de ses bureaux parisiens et le départ de ses salariés en 2015) </em> <em>Le directeur attaché à la France , ainsi que la majorité des directeurs de région , n’ayant plus de revenus depuis 15 mois et l’absence de solutions produits suite à la non validation de la gamme Alocava par L’AMF , ainsi que les remarques de l’ACPR sur le contrat d’assurance vie de la Dravya life, auraient présenté leur démission « afin de conserver leur intégrité professionnelle et personnelle ».</em> <em> </em> <em>Ce qui aurait en plus  mis le feu aux poudres, serait toutefois  des demandes écrites envoyées à la direction allemande en septembre et octobre  dernier ( restées sans réponses écrites), destinées à faire remonter les demandes légitimes des distributeurs français et leurs clients sur des sujets primordiaux, suite aux nouvelles obligations AIFM de 2014.</em> <em> </em> <em>L’objectif étant de comprendre et ainsi de pouvoir expliquer la stratégie et la pérennité de l’entreprise à travers des réponses claires sur :</em> <em> </em> <em>Les formules de calcul des fonds (suite à des annonces de rentabilité en forte baisse  pour 2014),</em> <em>les lourds frais de gestion, la prise en charge de l’avance de l’impôt allemand,</em> <em>l’engagement de participation bénéficiaire,</em> <em>les achats, les ventes (le taux de rotation et les vacances locatives du parc immobilier !)</em> <em>et la sincérité sur la valeur réelle de l’ensemble du parc immobilier.</em> <em> </em> <em>Malgré des réunions investisseurs clients qui seraient toutefois organisées en France, début décembre à Paris, Nantes et Lyon, de lourdes inquiétudes demeurent."</em>

Par : Benjamin CLAVEL

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Très intéressant merci.

Pour les investisseurs il ne reste plus qu’à croiser les doigts.

Par : Francis Dumont

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QUAND L’AMF FERME LA PORTE À FAIRVESTA,
FAIRVESTA PASSE PAR LA FENETRE ?

Le dernier fonds immobilier lancé par fairvesta, le fonds « Alocava XII, GmbH & Co KG » lancé dans le nouveau cadre des FIA selon la nouvelle norme AIFM, a vu son passeport de commercialisation refusé par l’AMF pour sa distribution auprès de la clientèle des particuliers en France.

Ainsi, après la gamme des fonds « Mercatus », pour lesquels l’AMF avait publié plusieurs mises au point, le groupe allemand de Tübingen se retrouve aujourd’hui sans possibilité de distribuer son nouveau fonds en France dans le cadre légal.

Toujours prêt à relever des défis et à effectuer des contournements, le groupe a décidé la création au Liechtenstein d’une Coopérative Européenne basée sur l’immobilier.

Le groupe a donc procédé à la création de la société « Adamas SCE » (http://www.adamas-sce.com). Société Coopérative à la transparence douteuse et qui se veut non tenue aux obligations de contrôle par les organes de régulation français, mais distribuée et animée par d’anciens directeurs du groupe fairvesta. D’ailleurs, l’annonce publique en est faite lors des réunions d’informations du groupe de ces derniers jours.
Ils proposent à des CIF de distribuer ce « produit » très alternatif, ou les « clients » sont des membres adhérents à une coopérative de droit européen.
Le groupe compte attiser l’intérêt des professionnels en distribuant une commission d’acquisition de 7% et majorée à 10% jusqu’au 31/03/2016 …
Personnellement je n’engagerais pas ma responsabilité professionnelle sur un produit de ce type. Nous ne savons que trop les dommages causés par d’autres coopératives par le passé.
« Notre coopérative n’est pas concernée par la législation sur les fonds d’investissement alternatifs … » Clame la direction du groupe ! Toutes les dérives sont donc envisageables.

Il est intéressant de noter que le membre « de base » verse sa participation augmentée de frais d’entrée de 5% mais qu’il ne possède aucun droit de vote ni de regard sur la gestion de la coopérative.
Pour acquérir un droit de vote, il faut s’acquitter d’un droit d’entrée de 15%. Autant dire que rares seront les « coopérateurs » désireux de passer à la caisse pour pouvoir voter (Ceci constitue une discrimination flagrante au principe d’équité et d’égalité de traitement des investisseurs).
La direction pourra ainsi tout maitriser avec pratiquement aucun contrôle de ceux qui fourniront les capitaux.
Les « clients » apprécieront.

Le modèle économique est fumeux et les perspectives de rendement soumises à des interrogations, au vu des résultats 2014 des fonds immobiliers de fairvesta.
Dans tous les cas aucun dividende ou versement n’est attribué avant la dixième année puisque seul le capital est récupéré à raison de 6% par an.

Lorsque les instances de régulation ferment les portes, certains n’hésitent pas à entrer par les fenêtres…
Souhaitons toutefois qu’aucun professionnel agréé CIF défendant une éthique professionnelle et personnelle, ne puissent entrainer ses clients dans une telle aventure…

Par : cjdp

Par : Pierre Manzoni

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On ne se refait pas semble t’il. Mais certains osent tout.

La page dédiée aux produits est assez savoureuse, vu que la plupart des types de placements proposés ont très mauvaise presse et on déjà fait l’objet de vives critiques de la part des professionnels de la gestion de patrimoine sérieux, quand ce n’est pas de la part de l’AMF ou carrément de tribunaux ayant déjà jugés des litiges :

– immobilier décoté en Allemagne (tiens tiens…)

– vinaigre balsamique (je comprends mieux les mises en garde ironiques du président de la Compagnie des CGPI)

– arts et manuscrits (on ne compte plus les procès en ce domaine)

– immobilier parisien décoté (connaissant bien le marché parisien, je sais qu’il n’y existe pas de « décote »)

etc…

De toute façon, une société basée au Liechtenstein qui s’adresse à des investisseurs français… la finalité du montage est assez claire.

Par : Jacques Pert

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je m’interroge sérieusement sur la rendement des investisseurs quand les soi disant CGP qui commercialisent ADAMAS sont rémunérés 10% …(preuve à l’appui) auxquels s’ajoutent la rémunération du Directeur régional, certainement 2 à 3%. De plus la sté basée au Lichtenstein ça sent la fraude fiscale.

Quand aux guignols qui commercialisent le vinaigre balsamique ou l’or, tous anciens Raëliens..( voir sur internet
leur probité…) l’Acpr devrait s’y intéresser si ce n’est déjà fait

Par : vincent Ridou

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Bonjour, je suis investisseur Fairvesta. La prochaine AG Mercatus IX aura lieu le 23 octobre à Tuebingen en Allemagne et je cherche un investisseur à qui donner procuration. 

Par : Benjamin CLAVEL

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Bonjour,
auriez-vous la possibilité de me faire parvenir les documents en question pour analyse ?


Par : Tsuki

Par : Benjamin CLAVEL

Par : Pierre

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Voila ce jour une intéressante communication de M. Rondeau, président de la Compagnie des Conseils en Gestion de Patrimoine Indépendants. On y voit que les points qui soulèvent des interrogations sont précisément ceux listés par Benjamin Clavel dès l'origine, et débattus ici même. Notamment la valorisation des immeubles et les frais extrêmement lourds. <em>"Le groupe Fairvesta Allemagne aurait annoncé à son réseau français en octobre dernier  que plus aucunes solutions commerciales ne seraient proposées en France…. jusqu’à nouvel ordre. La gestion administrative des contrats clients en cours serait désormais assurée par le siège en Allemagne. (Avec en filigrane la fermeture de ses bureaux parisiens et le départ de ses salariés en 2015) </em> <em>Le directeur attaché à la France , ainsi que la majorité des directeurs de région , n’ayant plus de revenus depuis 15 mois et l’absence de solutions produits suite à la non validation de la gamme Alocava par L’AMF , ainsi que les remarques de l’ACPR sur le contrat d’assurance vie de la Dravya life, auraient présenté leur démission « afin de conserver leur intégrité professionnelle et personnelle ».</em> <em> </em> <em>Ce qui aurait en plus  mis le feu aux poudres, serait toutefois  des demandes écrites envoyées à la direction allemande en septembre et octobre  dernier ( restées sans réponses écrites), destinées à faire remonter les demandes légitimes des distributeurs français et leurs clients sur des sujets primordiaux, suite aux nouvelles obligations AIFM de 2014.</em> <em> </em> <em>L’objectif étant de comprendre et ainsi de pouvoir expliquer la stratégie et la pérennité de l’entreprise à travers des réponses claires sur :</em> <em> </em> <em>Les formules de calcul des fonds (suite à des annonces de rentabilité en forte baisse  pour 2014),</em> <em>les lourds frais de gestion, la prise en charge de l’avance de l’impôt allemand,</em> <em>l’engagement de participation bénéficiaire,</em> <em>les achats, les ventes (le taux de rotation et les vacances locatives du parc immobilier !)</em> <em>et la sincérité sur la valeur réelle de l’ensemble du parc immobilier.</em> <em> </em> <em>Malgré des réunions investisseurs clients qui seraient toutefois organisées en France, début décembre à Paris, Nantes et Lyon, de lourdes inquiétudes demeurent."</em>

Par : Benjamin CLAVEL

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Très intéressant merci.

Pour les investisseurs il ne reste plus qu’à croiser les doigts.

Par : Francis Dumont

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QUAND L’AMF FERME LA PORTE À FAIRVESTA,
FAIRVESTA PASSE PAR LA FENETRE ?

Le dernier fonds immobilier lancé par fairvesta, le fonds « Alocava XII, GmbH & Co KG » lancé dans le nouveau cadre des FIA selon la nouvelle norme AIFM, a vu son passeport de commercialisation refusé par l’AMF pour sa distribution auprès de la clientèle des particuliers en France.

Ainsi, après la gamme des fonds « Mercatus », pour lesquels l’AMF avait publié plusieurs mises au point, le groupe allemand de Tübingen se retrouve aujourd’hui sans possibilité de distribuer son nouveau fonds en France dans le cadre légal.

Toujours prêt à relever des défis et à effectuer des contournements, le groupe a décidé la création au Liechtenstein d’une Coopérative Européenne basée sur l’immobilier.

Le groupe a donc procédé à la création de la société « Adamas SCE » (http://www.adamas-sce.com). Société Coopérative à la transparence douteuse et qui se veut non tenue aux obligations de contrôle par les organes de régulation français, mais distribuée et animée par d’anciens directeurs du groupe fairvesta. D’ailleurs, l’annonce publique en est faite lors des réunions d’informations du groupe de ces derniers jours.
Ils proposent à des CIF de distribuer ce « produit » très alternatif, ou les « clients » sont des membres adhérents à une coopérative de droit européen.
Le groupe compte attiser l’intérêt des professionnels en distribuant une commission d’acquisition de 7% et majorée à 10% jusqu’au 31/03/2016 …
Personnellement je n’engagerais pas ma responsabilité professionnelle sur un produit de ce type. Nous ne savons que trop les dommages causés par d’autres coopératives par le passé.
« Notre coopérative n’est pas concernée par la législation sur les fonds d’investissement alternatifs … » Clame la direction du groupe ! Toutes les dérives sont donc envisageables.

Il est intéressant de noter que le membre « de base » verse sa participation augmentée de frais d’entrée de 5% mais qu’il ne possède aucun droit de vote ni de regard sur la gestion de la coopérative.
Pour acquérir un droit de vote, il faut s’acquitter d’un droit d’entrée de 15%. Autant dire que rares seront les « coopérateurs » désireux de passer à la caisse pour pouvoir voter (Ceci constitue une discrimination flagrante au principe d’équité et d’égalité de traitement des investisseurs).
La direction pourra ainsi tout maitriser avec pratiquement aucun contrôle de ceux qui fourniront les capitaux.
Les « clients » apprécieront.

Le modèle économique est fumeux et les perspectives de rendement soumises à des interrogations, au vu des résultats 2014 des fonds immobiliers de fairvesta.
Dans tous les cas aucun dividende ou versement n’est attribué avant la dixième année puisque seul le capital est récupéré à raison de 6% par an.

Lorsque les instances de régulation ferment les portes, certains n’hésitent pas à entrer par les fenêtres…
Souhaitons toutefois qu’aucun professionnel agréé CIF défendant une éthique professionnelle et personnelle, ne puissent entrainer ses clients dans une telle aventure…

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